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L’équipe Finance Responsable
Outre les labels destinés aux fonds, le document d’enregistrement universel est un bon moyen d’évaluer l’appétence des entreprises pour les sujets sociétaux, sociaux et environnementaux.
Pour les sociétés cotées comme les investisseurs, il est de plus en plus difficile d’échapper à l’analyse de leurs résultats sans passer par le prisme de la responsabilité sociale et environnementale (RSE) ou des critères environnementaux, sociaux, et de gouvernance (ESG).
D’ailleurs, les deux notions sont proches. Alors que la RSE concerne directement les entreprises et les initiatives qu’elles mettent en place, dans le cadre de leurs activités, pour intégrer les intérêts sociaux et environnementaux, l’analyse ESG correspond à l’évaluation, par un investisseur, de la performance RSE d’une entreprise.
Les sociétés cotées en Bourse sont en première ligne dans le déploiement de mesures RSE et la communication d’informations extra-financières, à la fois contraintes par l’évolution de la réglementation et la pression des investisseurs. En la matière, le document d’enregistrement universel (DEU) fait partie des documents clés. Par exemple, le DEU du groupe LVMH contient des éclairages relatifs à l’égalité entre les hommes et les femmes (44 % de femmes aux postes clés en 2021 contre 23 % en 2007) ou aux mesures de bientraitance animale.
Du côté des investisseurs et de l’ESG, ce sont les labels qui occupent une place prépondérante dans l’écosystème. Le label ISR français indique que le fonds fait mieux que son indice de référence sur au moins deux critères parmi les suivants : environnement, social, gouvernance, respect des droits humains. D’autres outils existent pour guider l’épargnant dans ses choix d’investissement durable, tels que le label Greenfin, la notation Climetrics, ou les notes de Morningstar.