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L’équipe Finance Responsable
Les chiffres du dernier baromètre IFA / Ethics & Boards confirment que les grands groupes cotés français continuent d’intégrer les enjeux RSE au niveau de leur gouvernance.
90 %, c’est la part des sociétés du CAC 40 qui disposent d’un comité RSE, dédié ou combiné, rattaché au board. Ce chiffre témoigne d’une prise en considération accrue de la société, des individus, et de l’environnement par les grands groupes.
Dans le même sens, la rémunération des dirigeants est davantage « incentivée » en fonction de la performance RSE. La part variable de leurs rémunérations sert alors de juge de paix. Ainsi, le variable long-terme ajusté sur la RSE a gagné 5 points en un an et atteint 23 %.
Le réchauffement climatique fait, lui, l’objet de mesures spécifiques. En la matière, 40 % des entreprises de l’indice phare de la bourse parisienne suivent la Science-Based Targets Initiative (SBTI). Elles ne représentaient qu’un tiers du CAC 40 en 2022. La SBTI est une approche collective visant à accompagner les entreprises dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre et le respect de la COP21.
Cela démontre encore une fois la détermination des acteurs globaux à lutter contre le dérèglement climatique. Et surtout mesurer l’impact positif généré !
D’ailleurs, au sein des conseils d’administration, l’expertise RSE/ESG s’améliore aussi. 57,5 % des boards ont déclaré avoir en leur sein au moins un membre disposant de compétences spécifiques sur le sujet.
Enfin, les inégalités de genre tendent également à se réduire. Depuis la Loi Rixain, favorisant la mixité dans les instances dirigeantes, la proportion de femmes aux Comex de groupes du CAC 40 n’a cessé de grandir. Fin août 2023, 28 % de femmes composaient ces Comex. Un chiffre en hausse de trois points sur un an.