Désolé, notre site n’est pas disponible sur Internet Explorer.
Nous vous invitons à consulter le site Finance Responsable sur un autre navigateur.
En vous remerciant pour votre compréhension,
L’équipe Finance Responsable
PDG de Mirova, Philippe Zaouati continue de jouer un grand rôle dans le développement de la finance au service du vivant et de la planète.
Philippe Zaouati est l’une des grandes figures de la finance. Particulièrement connu pour son expertise et son leadership en matière d’investissement responsable. Entre autres responsabilités, Philippe Zaouati est le PDG de Mirova, une filiale de Natixis axée sur l’investissement durable et responsable.
Réputé pour son approche avant-gardiste, il a joué un rôle moteur dans la promotion de pratiques d’investissement respectueuses de l’environnement et de la société. Sous sa direction, Mirova s’est imposée comme un acteur clé du secteur de la finance durable. Son ambition est de générer des impacts environnementaux et sociaux positifs alignés sur une rentabilité financière.
Aujourd’hui, Mirova gère environ 30 milliards d’euros d’actifs. Parmi ses grandes lignes de services, on retrouve le Private Equity à impact, la transition énergétique, ou encore le capital naturel. Mirova a récemment investi 140 M€ dans Hyperion, le producteur portuguais d’énergies renouvelables. En France, l’investisseur a participé au tour de table de SOFIAC, le spécialiste de l’efficacité énergétique.
La carrière de M. Zaouati a été marquée par son engagement à aligner les stratégies financières sur les principes ESG. Il a activement contribué à l’intégration des considérations de durabilité dans les décisions d’investissement, reflétant une prise de conscience plus large de l’interconnexion entre les marchés financiers et les défis mondiaux en matière de durabilité.
Au-delà de ses réalisations professionnelles, Philippe Zaouati est reconnu pour son leadership éclairé dans la communauté de l’investissement responsable. Leadership qu’il assume pleinement. Selon lui, le monde de l’entreprise doit sortir de son paradigme purement capitaliste. Les entreprises doivent ainsi s’intégrer « dans un projet plus vaste qui est celui de construire un monde meilleur ».