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Le 17 juin 2021 a eu lieu la journée mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse. À cette occasion, la représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies pour la réduction des risques de catastrophes, Mami Mizutori a tiré la sonnette d’alarme.
Son message est clair : « La sécheresse pourrait être la prochaine pandémie et il n’existe pas de vaccin pour la guérir ». Les catastrophes climatiques auraient en fait touché 1,5 milliards de personnes au XXIe siècle. On estime le coût de ce phénomène a 124 milliards de dollars.
D’après Mami Mizutori, la sécheresse est désormais un phénomène qui ne touche plus seulement les régions arides d’Afrique. Elle s’est généralisée, et représente un danger pour beaucoup de pays, et surtout pour l’agriculture, la production d’énergie, le tourisme et bien d’autres secteurs.
Des mesures doivent être prises, et rapidement affirme l’ONU. Car « une meilleure compréhension des risques systémiques complexes et une meilleure gouvernance des risques peuvent conduire à une action efficace contre les risques de sécheresse. Les partenariats pour la résilience face à la sécheresse aux niveaux national et local seront essentiels pour gérer la sécheresse dans un monde en réchauffement où les précipitations deviendront de plus en plus imprévisibles » selon les experts de l’ONU.